otragui_jpgLes performances économiques réalisées par le gouvernement guinéen durant les quatre dernières années ne relèvent pas du miracle, mais de la volonté des autorités de la troisième république de faire de la Guinée un pays émergent. D’où des réformes courageuses et urgentes engagées pour sortir la Guinée du ‘’trou’’, du moins de sa situation léthargique caractérisée par une inflation galopante culminant au niveau de 21%.  Le résultat, aujourd’hui, tous les indicateurs macro-économiques sont au vert en dépit des difficultés économiques liées notamment à l’épidémie de la fièvre hémorragique à virus Ebola.  
Ces résultats acquis ont permis au gouvernement d’améliorer les conditions de vie des populations guinéennes en boostant le panier de la ménagère à travers des subventions des certains services, produits et de principales denrées de base.  
Les plus plausibles, ce sont des subventions accordées aux produits de grandes consommations comme le riz, la farine, l’huile de table notamment  pour alléger les souffrances des populations à la base. Grâce à la bonne santé économique, l’Etat a réussi, pendant quatre et bientôt cinq ans, à maintenir le prix du sac de riz importé de 50 Kg à 180.000 francs guinéens. Le prix du litre de l’essence et du gasoil  a été maintenu à 9 500 FG pendant deux (2) ans à la pompe avant de chuter à 8000 FG, ce qui est encore inférieur au prix pratiqué dans la plupart des pays de la sous-région.
Autre fait indéniablec’est la gratuité de la césarienne et celle de l’accouchement, même si – par le comportement irresponsable de certains médecins- des problèmes sont signalés à ce niveau. Pourtant des sommes colossales sont déboursées par les autorités  pour l’achat des médicaments liés à ces prestations.    
 
Au niveau fiscal, il faut souligner la suppression de l’impôt de capitation qui est un manque à gagner pour l’Etat mais un plus pour le revenu de paysan. En effet, cet impôt était considéré comme un autre fardeau pour eux. La suppression aussi par l’Etat des retenues sur les salaires (RTS) sur les salaires des travailleurs civils pour un minimum d’un million (1 000 000 FG) est une décision largement saluée au sein des populations actives. 
Dans la même logique, le gouvernement d’Alpha Condé a procédé à l’allègement des (RTS) de 30% à 5% par la tranche de salaires allant de 1 000 000 001 FG à 2 000 000 FG (loi des finances 2012). Ce qui était, il faut le souligner, une augmentation subtile des traitements mensuels des travailleurs du public et du privé.
Fait marquant dans cette optique, c’est le rehaussement de la valeur du point d’indice pour le calcul des pensions civiles passant de 312 FG à 375 FG pour compter du 1er janvier 2012. Et l’augmentation des salaires des travailleurs civils de 50% (2012-2013). Il faut ajouter à cela les 40% d’augmentation récemment obtenues par les syndicats sur le salaire des fonctionnaires dont les 20% ont été répercutés déjà depuis le mois d’Avril et les 10% le seront en fin juin.
Un ouf de soulagement pour les fonctionnaires dont le plus payé perçoit désormais jusqu’à 2 000 000 Gnf alors que le même ne touchait en tout et pout tout, avant l’élection du professeur, que  900.000Gnf.    
 
Faut-il rajouter, l’adoption d’un salaire minimum Interprofessionnel Garanti (SMIG) de 440 000 Francs Guinéens, un fait qui entre dans le cadre de l’amélioration les conditions de vie de certaines catégories de travailleurs qui ne touchaient dans  le passé qu’un montant allant entre 200 à 300. 000 Gnf par mois.
Le soutien matériel et financier à la société FRIGUIA  et à son personnel par la fourniture de MAZOUT à l’usine par EDG et le paiement de salaire des travailleurs ont été assurés par le gouvernement grâce à ses performances économiques réalisées.  
Au niveau du transport public, les nouvelles autorités du pays ont acquis- grâce à la coopération chinoise-  cent (100) Bus neufs pour les transports urbains et inter urbains. Ces bus sont exploités sous l’égide de la Société SOTRAGUI, créée à cet effet. Là aussi, grâce à la subvention du prix du ticket dans ces bus par l’Etat, chaque citoyen y a accès avec 1000 fg au lieu de 2500 fg.
Toujours grâce à la coopération chinoise, l’Etat guinéen a également acquis, en faveur du SPTD,  50 camions Bennes poubelles pour l’assainissement  de la ville de Conakry. Même s’il faut le reconnaitre le problème d’ordures ménagères est loin d’être résolu pour le moment.
 
Pour l’approvisionnement des populations en eau potable, les autorités de la troisième République ont réparé ou remplacé 2300 forages en panne sur toute l’étendue du territoire national et construit 200 nouveaux forages pour alimenter les populations urbaines et rurales.  
 
Du point de vue religieux,  le gouvernement a subventionné le pèlerinage 2011 à la Mecque  à raison de 3 000 000 FG par pèlerin soit au total 22 500 000 000 pour 7 500 pèlerins. A cela s’ajoute la subvention régulière du coût de la viande pendant les fêtes et notamment le Ramadan en accord avec les responsables de la filière.
 
Au niveau scolaire, l’Etat a, pour la qualification de l’enseignement à la base, fourni aux élèves de l’élémentaire 6 000 000 de manuels scolaires et recruté près de cinq cent professeurs d’Anglais au niveau des collèges. Ce qui est une première en République de Guinée.         
Les femmes et les jeunes- fer de lance de la nation-  ne sont pas en reste avec la Création suivant le décret D/2011/309/PRG/SGG du 21 Décembre 2011, du Fond National de Micro crédits en faveur des femmes et des jeunes.
 
Loin d’être exhaustifs, ces faits témoignent, clairement  de façon palpable, des d’efforts consentis par Alpha Condé et son gouvernement pour améliorer les conditions de vie des populations guinéennes.  
 
La synergie Alpha