Domani’Personne n’est indispensable dans le Syli’’, avait lâché, on se rappelle bien madame Domani Doré, la ministre des sports lors d’une conférence de presse dans l’affaire Ibrahima Traoré.

De nos jours, même ceux qui sont ennemis de Traoré,  savent que rien ne va dans notre équipe après 3 honteuses sorties, depuis que cette histoire de binationaux et des nationaux, a éclatée au sein du groupe Syli.

Depuis, notre équipe s’est fendue en deux clans, celui de Kamille Zayatte et celui d’Ibrahima Traoré.

Mais ce qui est malheureux dans cette histoire, c’est la position prise par certains responsables de notre football.

De nos jours si l’arrivée de Luis Fernandez était considérée comme une solution pour Syli, la déception chez tous les supporteurs, commence à prendre des proportions inquiétantes.

Des pays comme le Tchad nous ont battu en amical, à cela s’ajoute la défaite honteuse contre le Swaziland, un pays qui n’avait jamais gagné un match dans une compétition officielle depuis que le football a été créé, et le match nul de ce dimanche qui vient compléter ce tableau noir.

Et mettre à nu, l’impossibilité pour le Syli, à date, de gagner sans son maître à jouer, j’ai nommé Ibrahim Traoré.

Un adage nous enseigne je cite « même si tu n’aimes pas le lapin, mais il faut apprécier la longueur de ses oreilles ».

A l’opposé d’elle, moi je dis, je persiste et je signe, Pourtant il est indispensable !

Moussa Tatakourou Diawara