Medical workers wearing protective suits take part in a training prior to leave to countries affected by the Ebolas virus, in an empty factory warehouse in Amsterdam, on November 5, 2014 where medicals aid group Medecins Sans Frontieres (MSF) created a mock clinic. The disease has killed nearly 5,000 people, almost all of them in Sierra Leone, Liberia and Guinea. AFP PHOTO/ANP/BAS CZERWINSKI-netherlands out-

Medical workers wearing protective suits take part in a training prior to leave to countries affected by the Ebolas virus, in an empty factory warehouse in Amsterdam, on November 5, 2014 where medicals aid group Medecins Sans Frontieres (MSF) created a mock clinic. The disease has killed nearly 5,000 people, almost all of them in Sierra Leone, Liberia and Guinea. AFP PHOTO/ANP/BAS CZERWINSKI-netherlands out-

Suite à la contamination de la dame, ses contacts avaient été vaccinés de VSV-ZEBOV (un vaccin expérimental qui s’est révélé efficace à 100%, selon les résultats d’un test effectué auprès de plus de 4 000 personnes en Guinée), à l’exception de celle qui vient de développer la maladie. La décision de ne pas lui administrer ce vaccin à cause de son âge de 13 ans  avait été prise par les médecins.

Désormais, la coordination entend rectifier le tir pour empêcher toute nouvelle contamination : toutes les personnes en contact d’un cas vont être vaccinées, y compris les enfants. Fodé Tass est certain que si elle avait été traitée “comme les autres membres de la famille, elle n’aurait pas développé la maladie”.

Cette annonce met fin à plusieurs jours sans nouvelle contamination sur le territoire national que la Guinée avait enregistré la semaine dernière. À ce jour, quatre malades dont deux cas confirmés sont traités au CTE (centre de traitement Ebola) de Nongo à Conakry. Quant à Forécariah (l’une des deux localités où les derniers cas de subsistances ont été répertoriés), il n’y a plus de malade.

Ramatoulaye Fofana pour conakryplanete