Réagissant à la loi polémique contre laquelle Amnesty International a récemment réagit et qui autoriserait des tirs contre des manifestants, Docteur Fodé Oussou Fofana a commencé par expliquer qu’il était absent du pays au moment du vote de cette loi. Et, l’opposition, comme on le sait, ne participe pas aux activités de l’Assemblée nationale pour réclamer les élections locales.
Mais, n’acceptant pas que les tirs contre des manifestants soient autorisés par une loi de la République, le vice-président de l’UFDG a annoncé que la réplique était en train d’être préparée. Et, au président du groupe parlementaire des Libéraux-Démocrates d’annoncer une loi pour autoriser aux forces de l’ordre de « faire un coup d’Etat » quand le président ne « respecte pas la loi »
Guineematin