Emotif, fataliste, Mohamed Said Fofana a laissé filer la raison devant une foule en larme qui observe sept cadavres gisant au sol.
Malgré les causes de l’incendie, et le retard des sapeurs pompiers, il a plutôt préféré de dire qu’ « il était inscrit qu’ils allaient mourir ».
« J’exhorte les citoyens a acceptés. » Car, « ça pousse chacun à méditer sur le sens de ce qu’il doit faire. » a-t-il argumenté.
« La mort est très proche de chacun. Mais le mérite est de travailler comme si on doit mourir demain, mais de travailler aussi comme si chacun a un devoir vis-à-vis de la nation. » A-t-il poursuivi, avant de conclure « Nous prions Dieu nous même de le recevoir dans son paradis ».
A rappeler que cet accident est survenue dans la nuit du mardi au mercredi vers 1heure du matin, à Sonfonia-Africof.
Aly Badara Coumbassa pour conakryplanete.info