Mandian Sidibé puisqu’il s’agit de lui a profité de la visite de Cellou à Dakar pour dire que Cellou a accusé le président français d’être à l’origine de la mascarade électorale du 11 octobre 2015. Et bien, le parti de Cellou à travers son chargé de la communication dément. Il soutien mordicus que Cellou n’a pas tenu ses propos.
A propos, il faut dire que c’est la peur bleue qui hante peut etrre le patron de l’UFDG et pour cause. Les partisans de Cellou depuis l’arrivée du président Alpha Condé ne cesse d’accuser la communauté internationale, notamment la France et les Etats-Unis d’imposer aux guinéens le Socialiste Alpha Condé. Mais les dernières sorties de Cellou appelant à des violences dans le pays ont poussé la communauté internationale à durcir le ton contre l’ancien Premier Ministre sous le régime du feu président, général Lansana Conté.
Un désaveu donc pour Mandian Sidibé qui vivait jusque là sous le protectorat de Cellou dans la capitale Sénégalaise.
Lisez plutôt la réaction du parti.
C’est avec beaucoup de stupéfaction que le Secrétariat national à l’Information et à la Communication de l’UFDG a appris, à travers certains médias en ligne, que Cellou Dalein Diallo aurait porté des accusations à l’encontre de certaines personnalités étrangères. Il aurait notamment dit que : « C’est François Hollande et la Communauté des socialistes qui ont soutenu Alpha Condé ».
L’Union des Forces Démocratiques de Guinée dément vigoureusement cette allégation. Elle précise que son Président, depuis qu’il est à Dakar, n’a pas accordé une quelconque interview, ni à Mandian Sidibé, ni à un autre journaliste.
Par ailleurs, pour l’UFDG et son Président, la mascarade électorale à laquelle notre pays a été confronté cette année n’est imputable qu’à Alpha Condé, à la CÉNI et aux autres institutions inféodées qui ont refusé de respecter et de faire respecter le code électoral et la volonté du peuple.
Cellou Dalein Diallo n’a jamais pensé attribuer aux autorités françaises, et moins encore au Président Hollande, la responsabilité du déni de démocratie dont la Guinée a été victime le 11 octobre 2015.
Le Secrétaire national à l’Information et à la Communication.
Souleymane Thiâ’nguel BAH