Le terrorisme n’est pas tombé du ciel, ce n’est que le fruit d’une frustration et d’une haine cultivée sur des années.
L’Etat Islamique ex Irak est entrain de prendre de l’ampleur à cause d’actes que les puissances mondiales ont posés.
Mais revenons dans le passé pour comprendre ce qui se passe en ce moment. Les USA ont attaqué l’Irak sous Sadam Hussein l’accusant de détenir des armes de destruction massive. Ce qui ne s’est jamais vérifiée.Passant outre les avis de l’ONU.
Après la chute de Sadam le pays en sortit très affaibli, avec un peuple ne sachant plus à quoi s’en tenir, livré à lui même.
Quelques années après, il y’eut le déclenchement du « printemps arabe » en 2012. Il eut pour origine l’altercation entre le marchand ambulant tunisien Mouhamed Bouazizi et un représentant des forces de l’ordre. Frustré il finit par se suicider.
Qu’est devenue la Libye après cette période de turbulences?
Une guerre de clans s’est déclenchée.
Les conséquences: Une montée en puissance du terrorisme. 
Voici que la France qui traite certaines nations de barbares oubliant son propre passé:
Je cite:
«… Tout ce qui vivait fut voué à la mort… On ne fit aucune distinction d’âge ni de sexe… En revenant de cette funeste expédition, plusieurs de nos cavaliers portaient des têtes au bout de leurs lances… »
Fin de citation
En France, la guillotine a été utilisée jusqu’en 1977.
Cette même France qui a intensivement collaborer avec la Libye par le passé, qui a accueilli sur son territoire ceux qu’elle qualifiait de dictateurs.
Nous compatissons avec tous ceux qui ont souffert, qui souffrent et qui continuent de souffrir du terrorisme. 
Il est temps de jouer cartes sur table, et mettre les jokers à la poubelle
La dictature pourrait être définie par l’imposition de sa manière de penser aux autres.
Le meilleur moyen de lutter contre le terrorisme, c’est de lutter contre la pauvreté, le racisme, la discrimination, la frustration et les inégalités de développement.
« Vérité au-delà des Pyrhenées erreur en deça ».
Revenons à la raison, laissons chacun vivre sa religion en paix. Laissons chaque culture en place dans son contexte, sauf quand pour des raisons de santé l’intervention est inévitable.
Il faudra bien sûr dans un premier temps terminer ce qui a été commencé à savoir en finir avec le terrorisme, redonner le pouvoir aux peuples.
Mamadou Mansour DIOP
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