Dans un décret rendu public à la radio nationale, à la fin du journal, le président de la République, le professeur Alpha Condé a gracié le premier vice-président de l’UFDG, Bah Oury, ainsi que 170 personnes coaccusés dans l’affaire dite de putsch manqué le 19 juillet 2011 à son domicile privé de Kipé.
Désormais, Bah Oury, en exil depuis l’éclatement de cette affaire, est libre de regagner son pays.
A suivre…
Conakryplanete.info