« J’ai déjà ma feuille de route. Et Air Guinée y occupe une bonne place. Je leur ai dit qu’il faut que nous ayons Air-Guinée ici avant décembre (NDLR : 2016), aussi bien pour les vols réguliers en dehors du pays que pour nos capitales régionales », a indiqué Oyé Guilavogui.
En plus du besoin de transport, la décision du ministre semble aussi être motivée par le souci de se mettre au diapason des autres nations. « Lors de l’investiture du chef de l’État, chaque chef d’État atterrissait avec son appareil frappé du label de son pays. Mais pourquoi pas la Guinée ? » S’interroge Oyé Guilavogui.
Oyé Guilavogui parviendra-t-il à relever le défi de ressusciter Air-Guinée ? Attendons de voir, tout en espérant que cette annonce n’a rien à voir avec celles sur la reprise de la Sotelgui