Ils étaient 20 agents de la sécurité de l’UFDG à avoir été déférés à la Maison centrale dans la nuit du lundi 15 février 2016. Parmi eux, sauf Amadou Sow et Algassimou Kéita n’ont pas été libérés. Parmi les gardes, Mamadou Saïdou Bah, qui était déjà malade et hospitalisé à l’hôpital national Ignace Deen avait rendu l’âme dans la nuit du lundi au mardi 10 mai 2016. Ce dernier a son nom aussi sur la liste des libérés.
A rappeler que ces gardes ont été arrêtés suite à l’enquête engagée par la justice pour mettre lumière sur le décès du journaliste Mohamed Diallo tué par balle au siège de l’UFDG. C’était depuis vendredi, 05 février2016 dernier.
Aujourd’hui, après plus de six mois que l’acte s’est produit, parents et amis du journaliste continuent à attendre la justice qui traine encore les pas.
