Au cours de l’examen des questions liées aux droits de l’homme de la Troisième Commission de l’Assemblée générale des Nations Unies du 6 octobre, les États-Unis, l’Allemagne et le Royaume-Uni ont diffamé la Chine et se sont ingérés dans ses affaires intérieures.

Le représentant permanent de la Chine auprès des Nations Unies, Zhang Jun, a réfuté sans détour et rejeté totalement les fausses accusations de quelques pays comme les États-Unis contre la Chine.

Près de 70 pays ont soutenu la position chinoise. Le Pakistan, au nom de 55 pays, a prononcé un discours en faveur de la Chine sur la question de Hong Kong. Quant à Cuba, il a fait de même au nom de 45 pays, sur la question du Xinjiang.

Une ambiance en faveur de la Chine s’est formée au sein de la réunion, ce qui a une fois de plus contrarié les tentatives de certains pays, comme les États-Unis, de diffamer la situation des droits de l’homme en Chine.

La provocation de la confrontation par une poignée de pays, comme les États-Unis, est inopportune, a indiqué Zhang Jun, au moment où la communauté internationale a le plus besoin de solidarité et de coopération, ces pays provoquent des affrontements, créent des divisions et empoisonnent le climat de coopération. Leurs actes ignobles vont totalement à l’encontre du courant de l’histoire.

Selon Zhang Jun, les actes d’ingérence de ces pays dans les affaires intérieures de la Chine, sous prétexte des droits de l’homme sont impopulaires. Les faits ont montré que les actes ignobles de certains pays comme les États-Unis, qui accusent et font pression à chaque instant, et s’ingèrent dans les affaires intérieures d’autres pays, sont totalement contraires à la volonté des populations mondiales et sont totalement opposés à la communauté internationale.

Les réalisations de la Chine en matière de droits de l’homme ont attiré l’attention du monde entier, elles ne peuvent être niées par des mensonges, certains pays accusent la Chine en se trompant de cible.

Sur les plus de 9 millions 600 mille kilomètres carrés de la Chine, il n’y a pas de crainte de guerre, ni de déplacements contraints, plus d’un milliard 400 millions d’habitants partagent une vie tranquille, libre et heureuse, ce qui constitue le plus grand projet en matière de droits de l’homme et la meilleure pratique en la matière.