L’équipe conjointe de l’Organisation mondiale de la Santé et de la Chine avaient entamé, du 14 janvier au 10 février 2021, des recherches dans la ville de Wuhan sur les orgines de la COVID-19. Et le 17 mars 2021, le responsable de la partie chinoise Liang Wannian a répondu à toutes les questions brûlantes liées aux recherches qu’effectuent les deux parties. C’était de l’interview qu’il a accordée à « China Daily » et « le Global Times ».
Liang Wannian a souligné qu’à présent, la pandémie de la COVID-19 reste toujours une énigme. Quand à cette recherche conjointe, le chef de la partie chinoise a résumé la situation en quatre points. Il a premièrement dit que les experts des deux parties restaient fidèles au principe scientifique et à l’esprit d’ouverture sans poser des conditions préalables. En deuxième lieu, le chef de la partie chinoise a révélé que les deux parties collaboraient étroitement, et que chacun avait la confiance de l’autre, afin de mieux avancer dans la coordination de ce travail de recherche sur l’origine du virus en Chine. Liang Wannian a, dans son troisième point, reconnu que le programme était trop chargé, et que les experts devraient travailler jour et nuit. Et pour terminer, il a fait savoir que le résultat de cette recherche en Chine était partagé par des experts chinois et étrangers.
A propos du retard de la publication du rapport de l’OMS sur cette étude commune, Liang Wannian a avancé quelques raisons. «En fonction du travail, trois groupes ont été créés (Epidémiologie, animaux et environnement, épidémiologie moléculaire).Après presque un mois d’études, de discussions et d’analyses, les experts chinois et étrangers étaient parvenus à un consensus sur de principaux constats repris dans la conclusion, avec des propositions qui devraient faciliter la suite de recherche ». Liang Wannian a encore rappelé que les experts de deux parties avaient ensuite donné quelques précisions lors du point de presse conjoint tenu le 9 février dernier.
Actuellement, les experts chinois et étrangers sont en train de rédiger l’édition intégrale de ce rapport de recherche. « En tant que chercheurs, nous faisons de notre mieux pour que le contenu de ce rapport soit complet, rigoureux et scientifique. Il faut donc du temps»,a conclu Liang Wannian.