Une menace d’attaque terroriste plane sur la République de Guinée, si l’on en croit à cette alerte du Ministère des Affaires étrangères, du Commerce extérieur et de la Coopération au Développement : «Une attaque terroriste n’est pas exclue en Guinée».

Lisez ladite alerte de la diplomatie belge pour en savoir davantage …

«Depuis début 2012, le Nord Mali – pays voisin de la Guinée – est sujet à une insécurité majeure chronique liée à la présence de groupes terroristes, de mouvements rebelles et à des actes de brigandages. Le Centre du pays est également de plus en plus affecté par les mouvements terroristes et les conflits intercommunautaires. Ces groupes sont responsables de plusieurs enlèvements d’Occidentaux au Mali, au Niger, au Burkina Faso et au Bénin au cours des dernières années et continuent à menacer les intérêts occidentaux dans la région. De plus, les attentats perpétrés à Bamako, Ouagadougou et Grand Bassam ainsi que les coups de filets ayant conduit à l’arrestation de présumés djihadistes dans plusieurs pays de la région, y compris au Sénégal voisin, tendent à indiquer une expansion de la menace terroriste dans la sous-région. Une attaque terroriste n’est pas exclue en Guinée».

la diplomatie n’a pas manqué de citer nommément certaines zones de Conakry notamment les marchés Madina, Niger, Taouyah… où le risque serait plus élevé. Et aucun quartier de la capitale guinéenne n’est épargné, selon ladite note de la Diplomatie belge.

Les forces spéciales à l’épreuve de la menace terroriste 

Le Groupement des Forces Spéciales – qui a été créé par le Pr. Alpha Condé, finalement délogé par les éléments dudit Groupement des Forces Spéciales – devrait effectivement faire face à cette menace terroriste pour enrayer le danger qui plane sur la République de Guinée. Parce que le  Groupement des Forces Spéciales de la République de Guinée est un ensemble d’unités militaires d’élites des Forces Armées Guinéennes spécifiquement formées, instruites et entrainées pour mener un éventail de missions particulières, allant des opérations dans le cadre d’un conflit classique à celles relevant de la guerre non conventionnelle. Autant dire que le Groupement des Forces Spéciales est à l’épreuve de la menace terroriste