L’ancien ministre de la Communication et président du parti FND Alhoussein Makanéra Kaké est revenu ce vendredi 16 Avril 2021, sur l’organisation des récentes élections présidentielles au Niger où, selon lui, en lieu et place d’une véritable alternance, l’on a plutôt assisté à une sorte de ‘’deal’’ entre Mahamadou Issoufou et Mohamed Bazoum.
« Les élections au Niger, c’est une catastrophe, moi je préfère un menteur à un hypocrite. On ne peut pas être hypocrite pour bien faire. C’est impossible. Lorsque vous voulez la démocratie, jouez bien la démocratie. Le président dit qu’il n’est pas candidat mais il bloque le candidat le mieux placé, Hama Amadou et son candidat à lui passe. Et vous avez vu les premières nominations où le fils de Mahamadou Issoufou a pris comme place . C’est un deal. Tout le monde le sait. Moi je ne pense pas que cela soit une référence. », a laissé entendre le parlementaire guinéen.
Pour finir, l’honorable Alhousseiny Makanéra Kaké dira ceci : « Moi, j’ai une position claire. Le peuple est souverain. Laissez le peuple choisir. Si le peuple veut continuer avec quelqu’un, il continue avec la personne. Si le peuple n’est pas d’accord, même avec le 1er mandat, il peut franchement vous renvoyer à la maison. »
Pour finir, l’honorable Alhousseiny Makanéra Kaké dira ceci : « Moi, j’ai une position claire. Le peuple est souverain. Laissez le peuple choisir. Si le peuple veut continuer avec quelqu’un, il continue avec la personne. Si le peuple n’est pas d’accord, même avec le 1er mandat, il peut franchement vous renvoyer à la maison. »
Pour finir, l’honorable Alhousseiny Makanéra Kaké dira ceci : « Moi, j’ai une position claire. Le peuple est souverain. Laissez le peuple choisir. Si le peuple veut continuer avec quelqu’un, il continue avec la personne. Si le peuple n’est pas d’accord, même avec le 1er mandat, il peut franchement vous renvoyer à la maison. »
Pour finir, l’honorable Alhousseiny Makanéra Kaké dira ceci : « Moi, j’ai une position claire. Le peuple est souverain. Laissez le peuple choisir. Si le peuple veut continuer avec quelqu’un, il continue avec la personne. Si le peuple n’est pas d’accord, même avec le 1er mandat, il peut franchement vous renvoyer à la maison. »