ça se désagrège à l’UFDG. Le président du parti Cellou Dalein Diallo et le 1er vice-président-en exil- Bah Oury se livrent une bataille sans merci pour le contrôle du sommet. Accusé récemment d’avoir perçu 200000 euros des mains du président Alpha Condé, Bah Oury a réagi vivement à travers un de ses proches appelé Mohamed Lamine KEITA…
Du rififi à ok « chorale » dans le directoire de Cellou Dalein DIALLO
Acte 1 :
De la bévue de demande de financement à Alpha CONDE à travers l’installation du champion de fil de l’opposition (avec budget, bureau et sécurité), il passe à la diffamation par intoxication, misée sur de maigres 200 000 euros pour salir le moral de leur pire cauchemar devenu, BAH Oury.
Voici le concept : Demander la grâce et le privilège à celui qu’on ne reconnait pas (Alpha Condé, Ndlr) et vouloir passer à « tabas » le moral pour ainsi atteindre la dignité de celui qu’on n’aime pas (BAH Oury, Ndlr), comme pour dire, je dois faire porter le chapeau à ce dernier, de mes dragues puisque ce sont des âneries royales. Drôle façon de vouloir faire oublier ses clichés déshonorants et ténébreux et ses entreprises malpropres et ambiguës. Ce flagrant délit de mensonge pondu par des tourtereaux de longue date jouant les baleines surfeuses sur le flanc du désert, doit retourner tout droit dans les museaux de leurs concepteurs pour se faire ravaler cru.
Si ces filous s’érigent en donneurs de leçon de dextérité, que dire alors des deux (2) milliards de francs guinéens reçu par Cellou Dalein DIALLO pour l’indemnisation des militants de l’UFDG victimes des férocités du 28 septembre 2009, qu’il a détourné cruellement à ses fins ?
Ces victimes, militants dont la plupart croupissent aujourd’hui dans la misère, soit par leur infirmité à vie ou par leurs blessures psychologique et morale à vie, ne sont que pauvres par celui au nom duquel ils ont subis toutes ces atrocités, pendant que ce même individu part, paré de leurs ossements et des ruines de leur dignité faire la cour à leur présumé bourreau.
C’est cela qui se traduit par la mère qui tue avec mépris son bébé et la poule qui retire gaiement les graines à ses petits poussins.
Que dire au plus, du détournement des fonds de l’UFDG depuis 2010 ? Les cinq (5) millions d’euros de l’UFDG reçu par Cellou Dalein DIALLO des mains des intérêts Nigérians et d’autres millions de dollars du Colonel Khadafi, pour ne citer que ceux-ci.
Donc ce petit directoire de Cellou Dalein DIALLO, errant et désert d’idées doit trouver mieux comme sujet à marchander. C’est cela esquiver le bâton pour croiser l’épée, cette fameuse campagne de comprimassions des élans de l’espérance de tout un peuple, qui de par ses blessures produites navrent les âmes de ce dernier. Il doit savoir pour de bon, que la liberté n’est pas une guenille à vendre.
Acte 2 :
C’est maintenant certains ! Les violons ne s’accordent plus avec les voix dans le directoire de Cellou Dalein DIALLO. Il annonce par la voix de Fodé Oussou FOFANA, je cite : « Nous allons nous retrouver sous forme de séminaire, pendant 2 jours, pour tirer les leçons de toutes les élections… Nous allons ainsi voir ce qu’on peut faire de l’UFDG…. » Fin des citations.
Dans le même directoire Aliou CONDE disait je cite : « BAH Oury remet en cause la gestion du parti, et nous ne pouvons accepter cela… » Fin de citation.
Le même directoire dit des choses le matin et se dédit le soir. Il faut souligner en amont, qu’un séminaire n’a aucune valeur institutionnelle pour diagnostiquer et réparer les problèmes du parti. Et deux jours pour y réfléchir et y parvenir est une utopie et un jeu de dupes du directoire de Cellou Dalein à l’endroit des militants de l’UFDG.
Le Conseil National du parti est l’espace statutaire légal pour traiter ce présent sujet. C’est la seule instance habilité à faire le bilan à mi-parcours de la réalisation du programme du parti et celui-là qui investit les candidats du parti à la députation, aux conseils communaux et communautaires et qui désigne le candidat du parti pour d’éventuelles présidentielles. Il assure en outre le contrôle de la direction du parti et est en session ordinaire tous les deux ans.
Allez à l’encontre de ces textes pour chercher des raccourcis constituent un moyen de s’envaser dans une forfaiture constitutionnelle et de tromper sans gêne au grand jour les militants de l’UFDG.
Ce petit directoire de Cellou Dalein DIALLO doit savoir pour de bon, que les murailles de la ville ne peuvent s’écrouler au son de leurs trompettes. Leurs coquilles ont fait trop de bruits et le monde entier écoute ces sons monstrueux de par leur honte et est en train d’observer les limites de la nullité de leur contenu.
Que la liberté de leur parole n’étouffe plus la parole nos libertés ! #Team 224
A suivre… !
Mohamed Lamine KEITA,
Chargé de Communication UFDG / France